"please don't stop the- please don't stop the- please don't stop the music!"

première note rédigée défoncé depuis une eternité. Ou une moitié d'éternité au moins. WHAT UP? Pleins de bonnes nouvelles brothers and sisters:

1) J'ai vingt-deux ans! Je suis jeune et chanceux, enjoy! (dans deux ans il sera temps d'oublier mon âge exact)

2) Coraya est rentrée de Boston et elle va monter à Lille pour chercher un appart pour nous deux. Y penser me rappelle combien c'est plus cool de pas vivre tout seul, et me fait saliver à l'idée de la rentrée lilloise, de notre future vie en centre ville. Glam suit up! On se parle une bonne demi-heure au téléphone et on rigole bien, j'apprend des trucs du genre JeanJean qui a beaucoup grossit à ce qui paraît, Nath qui a encore rompu avec son Thomas,... et alors? Et alors: SAMO SAMO! same old bloody shit! On se retrouve perplexe qu'on a fait du chemin en trois mois Coraya et moi, alors que tout autour, les choses n'ont pas bougés d'un poil de cul.

3) Je ne bosse pas ni aujourd'hui ni demain, je n'ai jamais autant savouré un weekend comme je les savoure cet été depuis au moins la seconde. Un bail. Il fait beau mais pas trop chaud, je suis seul à la maison, je traîne en buvant des café latte et en calinant les chats, en trois mots comme en trop: c'est le pied, surtout que...

4) ... (héééé oui ça a marché une fois de plus!) J'ai reçu mon petit colis d'anniversaire from Romano di Carnetina Aguilera, de la ouhouh et un joli mot de lui et de Sir Salmone Kalifornietzshe inscrit sur un parmechin de pécu. Cocasse quand on sait que j'ouvre ce colis assis sur mes chiottes! Bref I'm baked, bref c'est un des trois meilleurs cadeaux d'anniversaire de toute ma vie. Sinon j'ai eu deux bonbons par Cecil, une flacon de ckone par mes parents, et un cheque par les ancetres. DANKE SCHÖN!

5) J'ai enfin fait ma première chouille avec des gens du macdo. guestlist: Tom qui nous accueille (j'adore ce qu'il écoute je vais lui faire une mixtape avant de remonter à Lille), Chacha qui nous accueille pour la fin de la nuit, Aurore la copine de Tom, Damien mon compère, Nico avec qui j'ai de sympathiques conversations sur le Ricard, Marine que j'aime beaucoup, son mec Loulou dont je vois une vidéo géniale où il s'endort assis dans un bar (enorme, à voir), Thomas et sa copine Mélanie dont on trinque au départ, Méline la jetée et l'adorable Jérémy, JeanMarc et sa bouille de lutin débauché, et même le manager Seb qui passe un bout de soirée. Fiou. Très sympa, je me prends une belle race, je finis à dormir chez Chacha mais cette dernière, Damien et un gars que je ne connais pas s'amusent a me bombe à raser le séant donc je me sauve et attend que mes parents viennent me chercher vers 7heures, alors que le matin amène sa blème figure. Quelque heures je choisis sagement de rester coucher toute la journée car quand je me lève pour aller bosser chaque mouvement se fait trop douloureux pour envisager possible de faire des hamburgers. Je garderais certainement contact avec certains d'entre eux, mais c'est triste de me dire que c'est trop tard maintenant pour nouer un lien avec ces gens.

Bon, la journée est belle, je vais me décoller un peu de cet ordinateur.

>citation du jour: (sur la justice) "Fair? Fair is what you pay to get on the bus, see, that's the only "fair" I know" - from Weeds, merci aux anglophones pour apprécier cette citation.
>chanson du jour: "Don't stop the music" Rihanna (futur kassedédi soirées classique)
>show and tell du jour: le premier single de Julien Doré

Attention les gens, roulement de tambour excité, j'ai enfin reçu le premier simple post-Nouvelle Star du produit de l'année Julien Doré! Que dire?
Que si la face A est un chouilla trop produite et callibrée radio, les deux face B sont parfaites: une version grunge sous perfu Pixies de "Moi... Lolita" avec le renfort de Dig Up Elvis qui surpasse carrément le tube, et une compo au yukulélé toute nue et rêveuse qui clot l'affaire par une odeur de (relative) liberté... Ahhhh.
Que l'étrange pochette, carte postale rétro d'un Julien pin up dont l'ambiguité rappelle le "Diamond Dogs" de Guy Peellaert, doit complètement satisfaire le voyou.
Que, par contre, pour le clip ils pouvaient pas faire pire, même avec les limites du temps qui manque ils auraient pu chiader autre chose que cet affreux montage des sessions studio. Triste à mourir, même si la fin est rigolote.
Que Julien, nouveau joujou du démon Sony/BMG, ne se fait pas enculer, et se contente de satisfaire l'ordre tout en se tenant à la limite du chaos.